Mal dedans

Mal dedans, pas toujours facile de suivre l’hygiène de la bouche chez le chat ou chez le chien! Lire la suite

Lire les étiquettes

Lire les étiquettes c’est ce que vous avez de mieux à faire avant que d’administrer ou de vous servir d’un nouveau produit destiné à votre compagnon  : Insecticides, anti-acariens, anti-poux : ces produits d’intérieurs qui sont dangereux pour les animaux.

Lire les étiquettes

Sprays pour assainir l’air, aérosols bourrés de pesticides, pipettes antiparasitaires… certains produits contiennent une substance potentiellement mortelle pour les chats : la perméthrine. Il est donc essentiel de faire attention.

Produits d’entretiens et animaux de compagnie ne font pas toujours bon ménage. Propriétaires de chats notamment : attention. Dans sa nouvelle enquête portant sur la pollution de nos intérieurs, le magazine 60 Millions de Consommateurs nous alerte sur le danger de l’utilisation de produits tels que les sprays «assainissants». Ces derniers ne sont pas forcément bons pour nous… et ne le sont pas non plus pour les félins domestiques qui partagent notre vie.

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La perméthrine, un poison mortel pour les chats

La raison ? La présence de perméthrine dans ce genre de produits. Si elle n’est pas spécialement mauvaise pour nous, cette molécule est toxique pour le chat : son organisme n’étant pas apte à l’éliminer, à son contact, il peut développer des troubles neurologiques (tremblements, convulsions, hypersalivation…) puis mourir. Malheureusement, il est difficile de ne pas y avoir recours tant elle se trouve dans de nombreux sprays, aérosols et pipettes. On la retrouve en effet dans les produits devant permettre de lutter contre les acariens, dans les soins anti-poux pour enfants mais aussi dans les insecticides… et dans les antiparasitaires pour chiens. Pour cette raison, il est fortement recommandé de ne pas donner de traitements contre les parasites pour canidé à un félidé.

Des étiquettes plus claires pour protéger les animaux

Afin d’éviter tous risques de mort féline accidentelle à cause d’une ingestion ou d’une inhalation de perméthrine, le magazine 60 Millions de Consommateurs réclame donc plus de clarté de la part des marques. Déjà en 2012, le signal d’alarme avait été tiré. La contrainte d’un avertissement aux propriétaires de chats sur les produits doit être imposée aux fabricants par les autorités. Tout produit qui contient de la perméthrine devrait porter la mention : «ne pas appliquer en présence de chats.»

Mon chat à inhaler de la perméthrine, que faire ?

«En cas d’exposition accidentelle, si des effets indésirables surviennent, il est recommandé de laver le chat avec du shampooing ou du savon [qui sont adaptés à son espèce, ndlr] et de demander rapidement conseil à un vétérinaire», préconise l’Anses. Pris en charge à temps, l’animal peut être sauvé et restera un temps en observation chez le spécialiste.

Par ailleurs, afin d’empêcher toute intoxication accidentelle, tenez les chiens traités à l’écart des chats. N’appliquez jamais de produits à base de perméthrine directement sur vos félins et faites en sorte qu’ils n’aient pas accès aux pièces traitées tout de suite après qu’un traitement a été appliqué.

Nous avons choisi de diffuser cette information car celles concernant nos compagnons sont toujours utiles mais cela ne vous empêche nullement d’interroger votre vétérinaire sur le sujet … Une information quelle qu’elle soit doit toujours être corroborée par un « spécialiste ».

 

 

Source : Wamiz.

Bon à savoir

Bon à savoir

Bon à savoir

Sensibilisation des enfants aux animaux : le rôle de l’école.

 
E N F I N
Intellectuels, associations et entreprises proposent de faire entrer un enseignement éthique et pratique sur les animaux dans les écoles.
 
L’animal peut-il être un outil pédagogique ? Face aux évolutions de la place des animaux dans notre société, des voix s’élèvent pour qu’un enseignement favorisant une meilleure connaissance et une bonne compréhension des animaux soit donné par l’école, et pour que cette éducation serve aussi de base au développement d’une sensibilité et d’une responsabilité des futurs citoyens.
« Enseignons à l’école l’empathie pour les animaux ! », ont ainsi proposé, dans une tribune publiée dans Libération le 21 février, une quinzaine de philosophes, scientifiques et historiens, dont le biologiste et moine bouddhiste Matthieu Ricard, les historiens des sciences Valérie Chansigaud et Thomas Lepeltier, et le biologiste Cédric Sueur.
 
Enseigner les animaux pour eux-mêmes…
 
Les auteurs de cette tribune regrettent qu’en France, les animaux soient uniquement « évoqués sous l’angle de l’espèce […] rarement pour eux-mêmes » et qu’on ne leur accorde de la considération « qu’au titre de la biodiversité des écosystèmes ». Pourtant, aujourd’hui, les avancées scientifiques « nous renseignent mieux sur la mémoire, la pensée, le langage ou la connaissance chez les animaux », qui mériteraient donc que l’on repense nos rapports de domination avec eux. De plus, avec l’évolution juridique du statut des animaux, reconnus comme des êtres sensibles, une nouvelle réflexion s’engage : « Les animaux ont-ils des droits ? Ont-ils un statut moral ? Notre responsabilité vis-à-vis d’autrui s’arrête-t-elle aux frontières de notre propre espèce ? Jusqu’où tenir compte de tous les individus capables de souffrir ? » Pour les auteurs, ces questions doivent se poser aux plus jeunes dans le cadre de leur éducation.
… et pour le vivre ensemble
Cette tribune souligne également la portée civique pour toute la société que peut avoir un enseignement éthique sur les animaux. « Les notions de respect, de justice et d’empathie envers les animaux » devraient ainsi, selon eux, s’inscrire dans le cours d’éducation morale et civique prévu dans les programmes scolaires. « Le thème de l’animal est un excellent support pédagogique […]. L’expérience de la condition animale favorise chez le futur citoyen le sens des responsabilités et de la coopération, le rejet de la violence et des discriminations arbitraires entre humains », défendent les auteurs.
Le texte de cette tribune souligne par ailleurs que la question du bien-être et du statut moral de l’animal fait déjà partie des programmes d’enseignement en Belgique. Un exemple sur lequel la France pourrait s’appuyer.
 
Les prémices en France
Partageant cette approche citoyenne de la question animale, l’association Peccram (Pogramme d’éducation à la connaissance du chien et au risque d’accident par morsure) s’engage dans l’éducation des enfants à la connaissance du chien et à son intégration en zone urbaine. Fondée par Chantal Hazard, retraitée de l’Éducation nationale, comportementaliste diplômée et médiatrice animale, Peccram développe des ateliers périscolaires pour apprendre aux enfants à mieux connaître les chiens, et les bons comportements à adopter en leur présence.
Peccram s’est associée à Purina, marque d’alimentation pour animaux, afin de porter encore plus loin cette démarche. L’association s’appuie désormais, pour ces ateliers périscolaires, et dans le cadre des formations qu’elle dispense aux professionnels du chien, sur un kit édité par Purina, destiné aux enfants de niveaux CE1 à CM2. Composé de livrets éducatifs, de posters et de DVD, il sert de support pédagogique pour permettre aux enfants de mieux connaître les chiens et les chats et, à travers eux, l’ensemble des animaux de compagnie.
Bon à savoirBon à savoir
 
Mis à la disposition des enseignants, gratuitement, via une plateforme qui leur est dédiée, ce kit peut également être utilisé par les enseignants du primaire, directement dans leurs cours, en fonction des initiatives personnelles de chaque professeur.
Pour Chantal Hazard, il s’agit d’un premier pas, avant d’espérer obtenir, à terme, « un agrément auprès de l’Éducation nationale » pour que soit intégré un enseignement sur les animaux. En attendant, en poursuivant son travail de sensibilisation auprès des enfants, Peccram espère que les élèves informés vont devenir des ambassadeurs de la cause animale auprès de leur famille.
 
Sophie Chaudey – Journaliste à 30 Millions d’Amis.

 

Les premiers pas

Les premiers pas sont forcément hésitants, prudents pour certains plus audacieux, un monde complet à explorer, vite vite …..

Je suis né dans un tonneau(…)

Les huit premiers jours, tout me parut couleur de rose

   Hippolyte Taine Lire la suite

C’est à vous de choisir!

C’est à vous de choisir. Il existe un guide pratique sur la médecine alternative pour les animaux.  Pourquoi ne pas prendre soin de votre animal de compagnie de manière naturelle? Voici quelques ouvertures de ce qui existe actuellement en approche différente pour nos compagnons. Eux aussi ont la possibilité d’être traités différemment …..   

 

Médecine douce pour animaux

Les médecines douces ont déjà fait leur preuve pour soigner les petits bobos ou même des maladies plus graves chez les chats,  mais aussi chez les chiens, les chevaux et même les petits rongeurs. N’oublions pas qu’ils vivent sur la même planète que nous.

medecine douce pour vos compagnons

De nombreuses options alternatives existent aujourd’hui pour soigner mieux et autrement, alors n’en privez pas votre animal de compagnie adoré ! Vous connaissez sûrement l’ostéopathie, par exemple, qui est de plus en plus utilisée chez les animaux, notamment en complément de certaines opérations chirurgicales… Mais de nombreuses autres médecines holistiques sont à votre portée pour soigner et guérir votre animal sans substances chimiques ni effets indésirables. Ces solutions naturelles vont même au-delà du traitement physique et permettent aussi de régler certains problèmes de comportement, comme la peur et l’agressivité, notamment chez les chiens. Phytothérapie, acupuncture, homéopathie, physiothérapie, aromathérapie et naturopathie : vous avez l’embarras du choix ! Toutes ces méthodes sur mesure proposent une approche naturelle et globale pour traiter les problèmes de santé à la racine.

Pour en savoir plus sur ces méthodes douces et les bienfaits de la médecine naturelle sur les animaux de compagnie,

découvrez  le guide pratique sur la médecine alternative !

 

https://www.homeoanimo.com/blogs/sante-animale/la-medecine-alternative-pour-animaux-petit-guide-pour-soigner-son-animal-naturellement

 

 

Chutes

Pas  la peine de s’affoler car, quelles que soient les difficultés rencontrées, les chats retombent toujours sur leurs pattes ! Vrai ou faux ?

FAUX  –  car même avec un grand sens de l’équilibre et un équipement sensoriel leur permettant d’activer le réflexe de retournement, il est faux d’affirmer que les chats retombent toujours sur leurs pattes ! Tout dépend en effet de la hauteur  de la chute et du type de surface sur lequel le chat retombe (surface dure, bétonnée ou meuble permettant d’amortir le choc). Même si le chat retombe sur ses pattes, il ne survit pas toujours car si l’onde de choc est trop forte, les os de ses pattes risquent de se briser, sans compter le risque de traumatisme crânien. De fait la première cause de mortalité des chats domestiques est la chute depuis un balcon ……. Alors attention

            Protégeons, protégez-les   en aménageant terrasses et balcons

Chute

Mieux vaut prévenir que courir chez le vétérinaire  avec le coeur battant

Le World Cat Show

Le World Cat Show ou  « La Mondiale » est un évènement majeur de la FIFe

Il a lieu une fois par an, la dernière semaine du mois d’Octobre.

Il est organisé par un des pays membres de la FIFe. Ce dernier devient le temps d’un week-end au centre du monde félin. La prochaine Mondiale aura lieu à Risjwick (NL) les 28 et 29 octobre 2017.

En tant que membre national, la FFF soutient cet événement en encourageant ses membres éleveurs et exposants à s’y rendre.

→ Consultez le site de la manifestation : ws2017.com

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